pucelle à 25 ans

C’était un peu

comme toutes ces choses que l’on attend si longtemps et qui arrivent au moment où on s’y attend le moins.

Mégane en était venue à croire que ce moment n’arriverait jamais à elle. Ses copines sexy étaient toutes passées par là il y a longtemps et elle s’est retrouvée seule, avec sa virginité et ses vingt-cinq ans.

La soirée entre « copines » qui avait marqué le coup n’était pas restée exempte de petites allusions à mi-chemin, à mi-parfaite sur son éternel état de demoiselle sexy. Elle était d’autant plus surprise ce soir que le garçon avec lequel elle allait enfin agir avait tout d’un jeune homme parfait.

 

le moment tant attendu 

Beau brun athlétique, Grégoire, employé dans la même agence bancaire que Mégane, passait pour quelqu’un de calme et de discret, mais avec un sens de l’humour caustique. Il est vrai que la jeune fille sexy avait espéré de meilleures circonstances pour cet acte que l’arrière d’un vieux 205 garé devant le parc public. Mais à son âge, pouvait-elle vraiment faire la chose difficile, au risque de retarder encore une fois le moment tant attendu ? 

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elle se heurtait même au fond de la culotte en coton

Le jeune homme ne s’est pas posé ce genre de question. Plus expérimenté que son complice, il avait pris les devants. Le bouche-à-bouche vaporeux qui avait marqué le début des hostilités s’était rapidement accompagné d’un caresse bon enfant de la poitrine juvénile. Il avait d’abord caressé les gros seins à travers le textile, puis, enhardi par le manque de résistance, il avait glissé sa main sous la blouse déshabillée de Mégane. Le soutien-gorge rapidement descendu sous les deux globes jumeaux les gardait serrés l’un contre l’autre. La poitrine de la jeune fille sexy semblait appeler les caresses, les mamelons fièrement dressés.

 

Grégoire enroulait son pouce sur les pointes des gros seins, en tirant dessus de temps en temps. Les soupirs de plus en plus soutenus qui sortaient de la bouche de Mégane ne laissaient aucun doute sur son état d’excitation. C’est donc sans crainte que, peu à peu, la main droite continue sa danse effrontée sur le genou et les cuisses de la catherinette. Mégane est heureuse d’avoir adopté une tenue féminine pour cette nouvelle soirée. Délaissant son pantalon traditionnel, elle avait opté pour un costume dont la mini-jupe mettait agréablement en valeur ses jambes sveltes. D’ailleurs, ce choix a également facilité les affaires de son partenaire.

La main large du jeune homme tâtonnait avec enthousiasme la partie charnue des cuisses qui se frottait habituellement au pubis. Parfois, elle se heurtait même au fond de la culotte en coton. Mégane se laisse glisser un peu plus sur la banquette arrière, invitant Grégoire à ne pas ralentir son élan. Ses fesses reposant à peine sur le siège, ses jambes étant maintenant assez écartées, sa position ne laissait aucun doute sur son état d’esprit. La timidité de Mégane, sous les assauts de plus en plus explicites de son compagnon, avait complètement disparu. Les soupirs se sont peu à peu transformés en gémissements et ont incité le mâle à intensifier son action.

Il ne tarde pas à le faire. Laissant derrière lui les cuisses musclées de Megane, il glissa sa main sous le fin tissu de coton qui protégeait encore le sexe de la jeune et séduisante fille. L’humidité sous le textile a confirmé, s’il en était encore besoin, la validité de sa démarche. L’homme sexuellement vénéneux semblait haleter, comme son maître, appelant les touches qui lui permettraient de satisfaire le besoin irrépressible qui le saisissait. Les doigts de Grégoire furent littéralement happés, aspirés dans la grotte d’amour de Megan. Sa bouche a été aspirée autour des phalanges masculines.

Si les doigts sont entrés sans difficulté, amplement lubrifiés par les sécrétions vaginales, Grégoire a eu un peu de mal à les faire glisser au début. C’était comme si le sexe, satisfait de combler enfin un vide, une lacune, ne voulait pas laisser partir la main qui le fouillait.

Dans la tête de Mégane, les choses se bousculaient. Elle n’était qu’à moitié consciente de l’obscénité de la situation. Si elle avait pu se voir, étendue sur le siège du véhicule, les jambes presque à l’horizontale, le bassin roulant vers la main de son compagnon, son plaisir aurait été multiplié par dix. Elle ne pouvait qu’imaginer la scène, entre deux moments de désarroi, mais cela a suffi à accroître son désir.

Avec sa langue aspirée des lèvres du jeune homme, une main sur ses gros seins et une autre dans sa chatte, Megan sentait que, peu à peu, son cerveau primitif prenait le relais. Elle pouvait à peine se reconnaître dans les gémissements qui envahissaient la voiture. Un peu gênée, elle savait qu’elle ne pouvait pas s’arrêter avant l’issue tant désirée.

Les doigts de Grégoire avaient trouvé leur rythme de croisière. Le sexe dégoulinant de Mégane consentait maintenant à favoriser le mouvement coulissant de la main. Y trouvant son intérêt, le vagin élastique facilita l’intromission d’un 3ième doigt à côté des 2 autres. Abandonnant le lancinant va et vient, l’mec vint coller son pouce sur le clitoris tendu de la jeune femme et crocheta le reste de sa main à l’intérieur de la moule. Il sentit la tension qui anima immédiatement le bas ventre féminin. Serrant les doigts comme une pince, il insista longuement sur le massage du bouton durci par le plaisir.

Les petites fesses de Mégane étaient maintenant presque totalement décollées de la banquette. Les jambes et le ventre tendus démontraient avec persuasion combien Mégane appréciait les attouchements prodigués par son amant. C’est elle-même qui dégrafa le pantalon de Grégory. Celui-ci s’était jusque là contenté de donner du plaisir à sa partenaire, se satisfaisant d’un massage léger de sa bite tendue à travers ses vêtements. Il apprécia en connaisseur l’initiative de Mégane.

La charge érotique de la situation apparût pleinement à la jeune fille sexy quand l’organe masculin jaillit vivement dans sa main, enfin libéré de sa prison. Maladroitement elle entama une masturbation de la hampe veineuse. Ce n’était pas ce qu’elle réussissait le mieux. Consciente de ses lacunes autant que de ses envies, elle prit elle-même l’initiative d’orienter le sexe de Grégoire vers l’angle formé par ses cuisses. Cette fois-ci serait la bonne, elle deviendra femme ce soir.

 

La bite prit la place des doigts presque sans heurts. Le patient travail masturbatoire accompli portait ses fruits. La lubrification massive de la chatte fit le reste et le pénis long et fin de Grégoire disparut presque instantanément au fond du puits. La fragile barrière de l’hymen n’était plus là pour ralentir la progression du membre dans le conduit vaginal. Celle-ci avait depuis longtemps disparue sous les assauts répétés des divers objets que Mégane s’introduisait régulièrement. A défaut de sexe masculin, une bouteille ou un légume pouvait faire l’affaire. Mais ce soir, la jeune femme ressentait totalement combien la présence au fond d’elle-même de l’engin palpitant qui la fouillait n’avait rien de commun avec les intromissions secrètes dont elle devait jusqu’à présent se satisfaire.

Coincés sur la banquette, les 2 amants imprimaient au véhicule un léger tressautement qui trahissait avec indiscrétion leur activité. Le pilonnage de Grégory dans le con de Mégane faisait son œuvre. Sur la jeune femme tout d’abord. De plus en plus souvent les gémissements laissaient place à une sorte de jappement. Jamais Mégane ne se serait cru capable d’exhaler de tels sons. Même dans ses plus torrides souvenirs de masturbation, elle ne se rappelait pas avoir subi semblable excitation. Sentir le gland cogner au fond de son trou avec force lui procurait une satisfaction jamais égalée avec les accessoires habituels qu’elle y enfonçait. Les coups de butoir du ventre plat de Grégoire sur son pubis ajoutaient encore à son trouble.

Mais c’est surtout quand elle aperçut la scène dans le rétroviseur intérieur que son désir enfla. Se voir ainsi écartelée à l’arrière du véhicule, une bite entre les jambes et les gros seins à l’air, lui fit l’effet d’une bombe. C’est à ce moment qu’elle laissa exploser son plaisir. Agitée de soubresauts, tremblante comme une feuille, elle connut pour la première fois l’extase sous les assauts masculins. Ses jambes enserrèrent le bassin de Grégoire avec force dans un premier mouvement, avant de se relâcher mollement et de tomber, pantelantes entre les sièges de la 205.

Sentant partir sa partenaire, le jeune homme accéléra le va et vient de sa bite dans le sexe. Lisant le plaisir inscrit sur le visage déformé de Mégane, il ne put contenir plus longtemps sa jouissance. Son gland enfla jusqu’au moment où, tendu à l’extrême, il se libéra en éjaculant une bonne dose de foutre sur la matrice. A 5 reprises le jus vint buter tout au fond du ventre de la jeune fille. Exténués, les 2 amants s’effondrèrent l’un sur l’autre dans un râle simultané. La vieille voiture, devenue immobile abrita jusqu’au petit matin les corps alanguis de Mégane et Grégoire.