lis cette histoire en vidéo

Je décidai d’aller aux toilettes, de me mettre un peu d’eau fraîche sur le visage et de retourner travailler. A peine arrivée, je l’ai entendue m’appeler à la porte, je lui ai dit que j’étais occupée, mais elle est quand même entrée. En voyant mon visage mouillé, elle s’est montrée curieuse. Je lui ai dit que j’avais très chaud et que j’étais venu ici pour me rafraîchir un peu. Elle a gloussé, s’est avancée, les mains sur les hanches et m’a regardé de la tête aux pieds. Elle m’a demandé si c’était elle qui me donnait chaud. J’ai rougi, j’ai senti la chaleur qui m’avait fait revenir, encore plus. Elle a fermé la porte, a commencé à déboutonner son chemisier, en gardant toujours un oeil sur moi. Mon sexe a alors commencé à gonfler de désir pour cette femme. Elle l’a vu et a encore éclaté de rire. Son soutien-gorge est alors apparu, en dentelle noire, tenant une poitrine plus opulente que je ne pensais.

Elle se retourna autour de moi, me regarda un peu plus en détail, s’attardant sur la déformation de mon pantalon. Elle a levé les sourcils et a posé sa main sur cette proéminence. L’effet a été comme elle s’y attendait, la bosse s’est un peu agrandie. Elle a décidé de prendre les devants, voyant que je ne faisais rien. Elle a défait ma ceinture, déboutonné mon pantalon et baissé la fermeture éclair, mon pantalon s’est retrouvé aux chevilles, mon caleçon, complètement déformé par mon érection, a suivi le même chemin. Elle est revenue pour mieux admirer mon phallus plein de vie. Elle a passé ses mains derrière son dos, sa jupe est tombée sur le carrelage, elle a enlevé son corsage, les a pliées et les a posées sur un lavabo. Son soutien-gorge a suivi le même chemin. Elle se tenait devant moi, ne portant qu’un string noir assorti. Ses seins étaient pointus, ils étaient serrés par le désir. J’ai plié mes affaires et les ai mises à côté des siennes. Elle s’est avancée, a commencé une lente masturbation pour s’assurer que mon érection était au maximum. Elle m’a tourné le dos, a posé ses mains sur le meuble devant elle, a creusé ses reins pour que son dos soit le plus cambré possible. Je me suis approché d’elle, un peu fébrile, une si belle femme qui s’offrait à moi sans retenue. J’ai fait glisser son string le long de ses jambes douces et soyeuses. J’ai passé ma main sur ses fesses, un léger frisson s’est emparé de moi. Nous avons fait l’amour comme des fous, en oubliant nos soucis quotidiens.

Nous avons passé une heure, peut-être deux, au WC. Pour finir cette belle partie, elle a englouti mon sexe, elle m’a sucé, m’a fait jouir dans sa bouche chaude et trempée. J’ai éjaculé en longs jets puissants, ils se sont écrasés contre son palais et se sont déversés dans la bouche. Elle s’est levée et m’a embrassé pour partager mon jus avec moi. J’ai été très surpris, il était onctueux et avait un goût sucré très prononcé. Nous nous sommes habillés, elle ne s’est pas remise en sous-vêtements et nous sommes retournés au travail.

Nous avons fait l’amour pendant 3 ans sans aucune retenue, en nous isolant soit dans la réserve, soit dans les archives, soit dans la salle de maintenance.