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– Suce-moi.
– Je ne l’avais encore jamais fait.
– Ne t’inquiète pas je te dirais quoi faire.

Le dîner se passa comme la dernière fois, tout se passa bien, mon frère raconta encore la même histoire de téléphone et la vie reprit son cours, du moins c’est ce que je croyais, car durant la semaine qui suivit, j’avais de plus en plus de mal à me faire jouir, j’arrivais à me faire jouir en pensant à mon frère en train de me masturber et je voulais retrouver les même sensation mais sans succès et après plusieurs mois de masturbation et de réflexion, j’ai pris ma décision puisque je n’arrivais pas à me donner autant de plaisir que mon frère alors j’allais lui demandais de me masturber encore une fois. Alors un soir, je suis entrée dans sa chambre, il était sur son lit en train de lire un bouquin, j’ai refermé la porte derrière moi, j’ai commencé par des bégayement incompréhensibles puis après avoir prit mon courage a 2 mains j’ai fini par sortir :
– Nicolas, je veux que tu me masturbes comme la dernière fois.
Mon frère me regarda un long moment puis fini par me dire
– D’accord, mais à une condition
– Laquelle ?
– Je veux être le seul à te le faire, je veux qu’as chaque fois que tu veux te masturber tu préféreras me le demander plutôt que de le faire toi-même.
– …d’accord
– Déshabille toi et approche toi

il m’écarta les jambes, à peine eu t-il posé la main sur moi que je sentis mon corps frissonner, il commença par me caresser le ventre, puis les cuisses, je voyais ma chatte s’ouvrir toute seule 

Une fois nue je m’approchais doucement de lui, j’étais quand même gênée et j’appréhendais se qui allais se passer, il s’était assis sur le rebord du lit puis il me dit :
– Assied toi sur mes genoux face au miroir de l’armoire
– Oui
Je me suis assise sur ces genoux, il m’écarta les jambes, à peine eu t-il posé la main sur moi que je sentis mon corps frissonner, il commença par me caresser le ventre, puis les cuisses, je voyais ma chatte s’ouvrir toute seule et la cyprine qui commençait à mouiller, ses doigts caressaient mes lèvres, puis il enfonça son majeur et fit de lents vas et vient et l’autre main caressait mon clito, je mouillais de plus en plus et je commençais à gémir, il enfonça un 2ième doigt dans ma chatte et accéléra légèrement la masturbation, pendant que son autre main continuait à s’occuper de mon clito, je me caressais et me malaxais les gros seins, mes gémissement se firent de plus en plus fort, mon frère en a profité pour m’enfoncer ma culotte dans la bouche pour étouffer mes gémissement, je ne me contrôlais plus, je me voyais dans le miroir et j’avais du mal à me reconnaître, je me voyais en train d’être masturbée par mon frère, gémissant et me caressant les gros seins avec de la bave dégoulinant légèrement de ma bouche, mon frère me pinça le clito et j’eu un très puissant orgasme encore plus puissant que la première fois. Il retira ses doigts de ma chatte  et lécha la cyprine qu’il avait sur les doigts il m’allongea sur le lit et partit de la chambre, j’ai repris mon souffle et je crois que je me suis assoupie un peu, quand je me suis réveillé, mon frère rentra dans sa chambre une serviette autour de la taille.
– Tu es encore là ?
– Je…je crois que je me suis assoupis
– Tu devrais retourner dans ta chambre
Je savais qu’il avait raison, mais je ne voulais pas partir je voulais que ça continue alors j’ai dit :
– Prends moi
Il me sourit, ferma la porte et me dit :
– Si tu baises avec moi, tu devras faire tout ce que je te demanderais sans poser de question, tu devra m’obéir au doigt et à l’œil, tu seras mon esclave sexuelle
– D’accord
Je ne m’étais pas encore rendue compte dans quoi je m’étais embarquée mais ce soir-là, il m’a fait l’amour comme jamais, j’ai joui 3 fois ce soir-là.
J’allais sortir pour rentrer dans ma chambre quand il me dit
– Demain, je veux que tu restes à la maison
– Mais demain j’ai école
– Tu sèches, tu dis a maman que tu es malade, demain je travaille pas je lui dirais que je m’occupe de toi
Je suis rentrée dans ma chambre, en pensant à la soirée que je venais de passer et à la journée de demain.

Le lendemain je fis donc ce que mon frère m’avait demandé, je fis semblant d’être malade, je m’étais masturbé pour être en âge et pour augmenter légèrement ma température, j’avais quand même mis le thermomètre sous la lampe pour faire mieux, ma mère décida que je devais rester au lit toute la journée et Nicolas se proposa pour me garder toute la journée, je restais dans mon lit pendant que mes parents et mon frère prenaient leur petit déjeuné. Quand mes parents furent partis, j’entendis mon frère monter les escalier et arriver devant ma porte, j’étais de plus en plus excitée, il entra et vint s’asseoir sur mon lit à côté de moi, il enlevas les couverture qui me recouvraient et me de manda de me déshabiller, ce que je fis sans poser de question, il déboutonna son pantalon et sortit son sexe déjà en érection, il le pris en main, me fit un signe de la tête et me dit :
– Viens te mettre à genoux devant moi
Une fois à genoux devant lui il me pris ma main et me la mise sur son sexe, son sexe était chaud, doux et dur à la fois, puis il me dit :
– Suce-moi.
Je restais un petit moment sans rien faire, puis je fini par lui avouer :
– Je ne l’avais encore jamais fait.
– Ne t’inquiète pas je te dirais quoi faire.
– D’accord…
– Embrasse-le.
Je faisais tous ce qu’il me disais
– Maintenant prend le en bouche et décalotte le avec ta langue.
Son sexe était vraiment chaud et salé
– Caresse moi les couille et suce moi bien
J’adorais sentir son sexe doux dans ma bouche, j’aimais vraiment ça.
– Tu te débrouilles bien pour une première fois, alors on va passer à l’étape suivante
Il mis sa main sur ma tête et la fit aller et venir sur son sexe, en me donnant la cadence, il commençait à gémir.
– Ah oui c’est bon, branle moi en même temps
Je pris son sexe en main et j’ai commencé à le masturber avec un peu de difficulté, j’avais un peu de mal à le sucer et à le branler en même temps, mais je sentis que son foutre allait bientôt sortir.
– Garde bien mon sexe en bouche, tu vas boire tout mon foutre
Quand il a joui dans ma bouche, son jet était si violent que j’ai failli m’étouffer.
– Avale bien tout parce que ça sera ton unique petit déjeuné
J’avalais tout comme il me l’avait demandé, c’était la première fois que je buvais son jus sucré, il m’attrapa par les épaules et m’embrassa longuement et tendrement, quand son sexe eu repris des forces, il mis un préservatif et s’allongea sur mon lit et me fit signe de venir sur lui, je m’exécutais sans discuter et m’empalais sur son sexe, ma chatte était déjà bien humide et son sexe n’eut aucun mal à me pénétrer, je fis de lent vas et viens sur son sexe, , il me mis ses mains sur mes fesses, me les caressa, me les malaxa et me donna le rythme du va et vient, je gémissais à chaque entrée de son sexe en moi, mon corps était très sensible mes tétons était en érection, il en profitait pour les caresser et les pincer, il ne me fallut pas longtemps avant de jouir une première fois, il me suça et me mordilla les tétons, m’enlaçais, il me rendais complètement folle, il me fit basculer en arrière m’écarta bien les jambes et accéléra nettement ses coup de reins, il mis mes jambes par-dessus ses épaules, il entrais bien profondément dans ma chatte, je criais de plaisir en me caressant les gros seins, je m’abandonnais complètement à lui, il s’enfonça bien en moi et fini par jouir en même temps que moi. Il sortit de ma chatte, enleva son préservatif, le retourna et m’ordonna de boire à nouveau son foutre que le préservatif avait retenu.
Après avoir repris mon souffle, il m’ordonna de le suivre dans sa chambre, il sortit un carton de sous son lit où il y avait de nombreux objet sexuel mais il n’en prit qu’un, un bâillon boulle, il se mit derrière moi et me le mit avant que je n’ai pu dire quoi que ce soit, il sera bien le bâillon, ma bouche ouverte la boule dans la bouche.
– Suis moi, tu vas me laver
Il sortit de sa chambre et entra dans la salle de bain, je le suivais comme son ombre, il entra dans la douche, je pris le gel douche et un gant, il me stoppa net.
– non non non, tu vas te verser le gel douche sur tes gros seins et sur ton ventre et tu vas te frotter contre moi pour me laver
Un peu surprise de sa demande mais heureuse d’apprendre des nouvelles choses, je pris le gel douche et me le versa sur le corps, j’entrais dans la douche derrière lui et j’ai commencé à me frotter contre son dos, mes gros seins frottaient contre son dos pendant que mon ventre caressait ses fesses, le gel douche coulait sur ma chatte, j’en profitais pour laver ces jambes en frottant ma chatte contre elles, une fois que j’eu fini de lui laver, le dos en les jambes je me suis relevé, me suis mise devant lui, je me frottais les gros seins contre son torse, il me faisait monter et descendre mes tétons me faisaient mal tellement ils pointaient, puis je pris son bras gauche entre mes gros seins et allé et venais sur son bras, puis son bras droit, puis je me suis mise à genoux devant lui, pris son sexe entre mes gros seins et le lavais bien consciencieusement mais il m’arrêta assez vite, il me releva et m’embrassa longuement et tendrement, il se rinça et sortit de la douche
– Vas t’asseoir sur le rebord de la baignoire
Il pris de la mousse à raser et un rasoir, il se mis à genoux devant moi et m’écarta les cuisses.
– Il est temps de faire un peu le ménage de ce côté
Il m’appliqua la mousse à raser sur la chatte et commença à me raser doucement, j’étais à la fois excité et effrayée qu’il se loupe, mais tous se passa bien, une fois fini il caressa un peu ma chatte imberbe et vint me l’embrasser et me la lécher, je lui caressais la tête, il suça et mordillais mon clito, je gémissais fortement à chaque fois qu’il me touchait, puis il s’arrêta d’un coup.
– Pisse moi dans la bouche
Je fus d’abord surprise par sa demande, croyant avoir mal entendu mais il réitéra son ordre, en me donnant une tape sur les fesses
– Pisse moi dans la bouche !
C’était vraiment ce qu’il m’avais demandais, a la seconde tape sur mes fesses l’urine commença à sortir de ma chatte, il ouvrir sa bouche, mon urine remplissais sa bouche et en débordé légèrement et il en avala une grande partit, quand le débit commença à se réduire il plaqua sa bouche contre ma chatte et aspira, c’était une sensation toute nouvelle, sa langue ouvrais ma chatte et mon urine sortait toute seule, quand il eut but mes dernière goûtes, il se releva, léchant ses babines, et me demanda de retourner sous la douche, je mi mis toute contre le mur, dos au mur, il s’approcha de moi, me souleva et mis mes jambes autour de sa taille et s’enfonça bien en moi, c’était la fois qu’il me pénétrais sans préservatif, que je sentais la peau de son sexe contre mes lèvres, mais contrairement ou autre fois, il ne fit pas de vas et vient en moi il resta un petit moment dans ma chatte et d’un coup je sentit un liquide chaud inonder ma chatte, il était en train d’uriner en moi, son urine débordait un peu mais une grande partit resta en moi quand il eut fini il se retira, et toute son urine sortit d’un coup de ma chatte ( sexy ), ce qui me fit jouir très fortement, il me sourit et nous rinça une dernière fois, partit dans sa chambre et me demanda de l’attendre dans le salon, la journée de faisait que commencer.

J’étais donc dans le salon complètement nu avec le bâillon boulle dans la bouche, mon frère revint 5 minutes plus tard habillé cette fois-ci, il pris une chaise et la plaça au milieu du salon face au canapé et me dit
– Assied toi !
Je me suis assise bien gentiment comme il me l’avait ordonné, puis il m’empoigna les bras et me les mis derrière mon dos et les attachas bien à la chaise.
– Écarte les jambes !
Il se mis devant moi et m’enfonça un vibromasseur bien profondément dans la chatte et l’alluma en position basse puis me caressa le clito, le vibro bien au fond de moi commencé à me faire mouiller, mon frère lécha ces doigts et alla s’asseoir sur le canapé en me regardant, il m’observais bien attentivement, je mouillais de plus en plus, je n’étais plus sa sœur mais sa chose, je me sentais salope, et je doit dire que ça ne me déplaisait pas, ma chatte mouillais de plus en plus et mes tétons était de plus en plus dur, mon bassin faisait des vas et viens sur la chaise et je gémissais de plus en plus, et je commençais à transpirer, mon frère se leva et vint mettre le vibro en position plus rapide et repartit a sa place, ma chatte dégoulinait de plus en plus, je gémissais de plus en plus fort quand tout d’un coup j’entendit la sonnette de la porte. J’avais très peur, mon frère se leva, alla vers la porte et regarda dans le Juda, me fit signe que tout était ok, et à mon grand étonnement ouvrit la porte, une femme entra, elle était grande noire assez bien faite, elle devais avoir le même âge que mon frère, ils s’embrassèrent longuement, elle posa le carton qu’elle avait aux mains et vint vers moi, elle me regarda, mis sa main sur ma chatte et récupéra de ma cyprine qu’elle lécha.
– Ben dit donc ma salope, toi quand tu mouille tu fais pas semblant
Elle remonta légèrement sa jupe et s’assis sur mes genoux et commença à me caresser les gros seins, c’était la première fois qu’une femme me caressait, c’était à la fois bizarre et très bon, elle lécha les goûtes de sueur qui dégoulinaient de mon front, puis elle se leva et rejoignis mon frère.
Mon frère : – Comment tu la trouve ?
Elle : – elle m’as l’air très bien et très salope
Mon frère s’approcha de moi et me dit
– Je te présente Marie, c’est ma copine, et ça seras aussi ta maîtresse, à partir de maintenant tu m’appellera maître et elle maîtresse tu as compris ?
J’acquiescé de la tête, Marie s’approcha de moi et me retira le vibro de la chatte ce qui me donna un immense orgasme qui me fit crier de plaisir. Elle lécha longuement la cyprine du vibromasseur puis le posa, mon frère alla s’asseoir sur le canapé, pendant que Marie se déshabillait, quand elle fut complètement nue, elle vint s’asseoir sur mes genoux face à moi, elle se mis tout contre moi ses gros seins tout contre les miens, nos tétons se frottaient, les miens étaient déjà bien dur et tendu, elle m’enlaça, m’embrassa et me lécha dans le cou, m’enleva le bâillon et m’embrassa à pleine bouche, c’était complètement différent que d’embrasser un garçon, sa langue était fine et douce je lui rendais volontiers son baisé, ses mains me caressais divinement bien j’aurais voulu lui rendre ses caresses mais mes liens m’en empêché, et elle s’éloigna de moi. Elle fouilla un peu dans son carton.
– Écoute moi salope tu vas être toutes à moi pendant les prochaines minutes ton frère vas nous regarder et je veux que tu sois une vraie salope tu m’as compris ?
– Oui
– Oui qui ?!
– Oui maîtresse
Elle sortit du carton 2 pinces a tétons vibrants, qu’elle put placer facilement sur mes tétons en érection, sans les mettre en marche, puis retourna au carton et sorti un double sextoy en latex rose transparent. Elle m’écarta les jambes et m’enfonçant le sextoy en moi et commença à faire de petit vas et vient en moi, n’aillant plus le bâillon en bouche mes gémissement purent enfin sortir et résonner dans toute la pièce, elle mis en marche un après l’autre les pince tétons vibrant, les vibration partaient de mes tétons et se propageais dans mes gros seins, mes tétons me faisaient de plus en plus mal mais c’était bon, puis elle s’arrêta de me masturber, m’enjamba et s’enfonça lentement l’autre moitié du sextoy dans la chatte et m’embrassa passionnément, je ne voulais plus quitter ses lèvres, sa langue, c’était devenu un vraie supplice quand ses lèvres quittaient les miennes. Elle commença à remuer son bassin faisant ainsi bouger le sextoys dans nos chatte, ces tétons était tout contre les miens et avaient fait tomber les pince sans que je ne m’en aperçoive tellement je ne sentais plus mes tétons, mon corps était en feu je brûlais de désir pour ma nouvelle maîtresse qui commençais à gémir en bougeant son bassin.
– Alors ma cochonne tu aimes ?
– Oui maîtresse
– Ton frère m’a raconté que tu te masturbais tous les soir en rentrant à la maison ?
– Oui maîtresse
– Il m’a tout dit sur la petite salope que tu es, comment tu es venu lui demander qu’il te masturbe, comment tu lui a demander de te baiser, tu as aimé ça ?
– Oui maîtresse
Elle arrêta ses mouvement et se leva en se sortant le sextoy de la chatte en se mordant les lèvres, repris le bâillon sextoy et me le mis sur la bouche et me donna un petit bisou sur la joue, et replaça le double sexto dans ma chatte encore dégoulinante de cyprine et alla vers mon frère qui s’était déshabillé pendant que Marie s’occupé de moi, mon frère l’attendait sur le divan le sexe tendu, elle lui tourna le dos, mon frère se leva, elle se pencha en avant, écarta ses fesse, et mon frère vint s’enfoncer sans mal dans son cul, Marie ferma les yeux et se mordais les lèvres en sentant le sexe de mon frère entrer en elle, Nicolas la pris par les hanches et fit de rapide et for vas et vient en elle qui la faisait crier de plaisir à chaque coup de reins et elle criait de plus en plus en se caressant les gros seins, je voulais être a sa place je voulais sentir sa bite en moi et ses mains sur mon corps nue, ma chatte ( sexy ) dégoulinais de plus en plus en voyant se spectacle, mon frère me regarda et me dit
– Alors ma salope tu aimes ce que je lui fait ?
Je fis oui de la tête, puis Marie me dit
– Ne t’inquiète pas ma chérie tout à l’heure ça sera ton tour
Puis les 2 amants reprirent les ébats, mon frère lui prenais le cul tout en lui caressant la chatte, je voyais les jambes de Marie trembler, sous les assauts de mon frère, elle criait et en redemandait, Nicolas lui enfonça 2 doigts dans la chatte et lui masturba la chatte, les jambes de Marie fléchissaient mais elle essayait tant bien que mal à rester debout, je n’avais jamais vu une femme crier autant de plaisir et aussi fort quand mon frère eut joui dans son cul. Quand mon frère se retira, elle retomba à genoux pour reprendre son souffle pendant que mon frère lui caressait les cheveux. Une fois que les 2 amants eurent fini de reprendre leur souffle, ils me regardèrent, mon frère aida Marie à se lever, ils se rapprochèrent de moi, mon frère me détacha, Marie m’enleva le bâillon et me dit
– Maintenant ma salope nous allons te dépuceler le cul

Ils m’avaient détaché et débâillonné et m’avais dit qu’ils allaient me dépuceler le cul, la maîtresse partit devant, mon frère m’embrassa tendrement en me caressant le ventre, je mataient discrètement le cul de Marie et remarqué le foutre blanc dégoulinant de son anus et qui coulait sur sa peau noire.
– tu as vu son cul ma salope ? il te plaît ?
– oui maître
– dans quelques heures tu auras le même
Il me pris la main et m’emmena dans la salle de bain, où nous attendait Marie, nue, une pompe a lavement à la main. Je m’approchais de Marie tous doucement appréhendant ce qu’il allait m’arriver, Marie me pris la main et me tira vers elle, me tourna et me fit pencher en avant, elle me regarda et me caressa les fesses et dit
– Elle a vraiment un beau cul, je sens qu’on va bien s’y amuser
Puis elle me mis une claque sur les fesses, ce qui me fit sursauter et m’arracha un petit crie, puis elle me donna une autre claque, plus elle me claquais les fesses plus mes cris été fort, et je sentais ma chatte s’humidifier de plus en plus, puis elle s’arrêta ses claques sur les fesses, m’écarta les jambes et me claqua la chatte.
– Mais tu mouille ma salope, je savais que tu aimais les fessées ma chérie
Mon frère s’approcha de moi me caressa la joue, me sourit et me dit à l’oreille
– Si tu es très sage et que tu le demandes gentiment je te donnerais la fessée tant que tu voudras
Puis il rejoignis Marie dernière moi, mes maîtres me caressais et me claquaient les fesses et ma maîtresse en profitait pour lécher la cyprine qui coulais de ma chatte, quand mes fesses furent assez rouge pour eux, mon maître m’écarta les fesses pendant que la maîtresse m’enfonça lentement la poire dans le cul, je sentit petit à petit mon ventre se remplir d’eau tiède, ils me caressèrent les fesses pendant que la poire remplissait mon cul, j’avais de plus en plus de mal à contenir tous le liquide chaud en moi, ils retirèrent la poire.
– Tu te videras que quand on te le dira, c’est compris salope ?
– Oui maîtresse.
Mon frère se mis devant moi, me caressa le visage et me présenta son sexe
– Allez, montre a Marie comment tu suces
– Oui Maître
Je pris son sexe en main et le mis dans ma bouche sans attendre, son goût était différent de ce matin, il avait pris le goût de ma chatte et de celle de Marie. Je m’appliquais à bien lécher sa bite de haut en bas tout en lui caressant les couilles, mon maître me pris par les cheveux pour me donner le rythme de la pipe pendant que ma maîtresse me caressait la chatte, ses doigts venais caresser les cuisses, mon clito, mes lèvres pour venir s’enfoncer dans ma chatte pour me masturber, je gémissais et j’avais de plus en plus de mal à retenir le liquide de mon cul, j’essayais de me retenir tant bien que mal en me tordant dans tous les sens, plus je bougeais, plus ma maîtresse me donné des fessée et moins j’arrivais à me retenir, je me tenais bien au hanches de mon frère pour ne pas tomber, le sexe de mon frère entrais et sortait de ma bouche sans ralentir, ce n’était plus moi qui lui faisait une pipe mais lui qui baisais ma bouche, il agrippa bien mes cheveux et accéléra les vas et vient, je sentais Marie lécher ma cyprine coulant le long de ma jambe quand mon maître sortit son sexe et jouie sur mon visage dans un râle de plaisir, Marie et mon frère ont échangé leur place, Ma maîtresse me pris le visage et me regarda longuement.
– hummmm, une vraie pute comme je les aime, tu avais raison elle est parfaite, une vraie salope
Puis elle lécha tout le foutre que j’avais sur le visage pendant que mon frère me masturbait la chatte, quand elle eut bien nettoyé le visage elle me dit
– Vas-y vide toi tu l’as mérité
A ces mots je me vidais complètement du liquide qui remplissait mon ventre avec un grand soulagement, une fois bien nettoyé, ils me remirent le bâillon et m’emmenèrent dans ma chambre. Une fois dans ma chambre, ils m’allongèrent sur le ventre sur mon lit, Mon frère s’essaya sur une chaise à côté de mon lit pendant que ma maîtresse enfila une ceinture sextoy a laquelle elle fixa un sextoy assez petit et aussi large qu’un tube a essaie, elle attacha mes cheville a une barre assez longue pour laisser mes jambes écarté, attacha mes bras dans mon dos et me fis basculer en avant, elle se mis derrière moi en me caressant les fesses, me les malaxais en me donnant des petites tapes, elle m’écarta les fesses et je sentit le lubrifiant très froid couler sur mon anus qu’elle caressait avec ces doigts, elle enfonça lentement un doigt en moi et le bougea pour bien m’écarter l’anus, c’était une sensation assez étrange, pas aussi bonne que dans ma chatte mais très excitante, une fois mon anus assez écarté pour elle, ma maîtresse se mis derrière moi, lubrifia son sextoy et força l’entré de mon anus, malgré sa petite préparation son entrée dans mon cul fut légèrement douloureuse, elle resta un petit moment sans bouger en moi puis me redressa en me tirant par les cheveux et commença de lent vas et vient dans mon anus tout en me tenant par les cheveux. Je ne pouvais plus bouger, j’avais mal mais c’était bon. Tout en s’occupant de moi Marie regardais mon frère se caresser, mes maîtres se regardaient l’un l’autre, c’était comme si ils se faisaient l’amour et que moi je servais d’accessoire, j’étais devenu un sextoy ou une poupée gonflable pour eux un jouet et j’aimais ça, oh mon dieu oui j’aimais vraiment ça, Marie se retira de mon cul.
– Vas-y, c’est ton tour, je crois qu’elle est prête
Je suis resté à genoux sur mon lit, essayant de reprendre mes esprits, et avant que ne m’en rende compte mon frère était derrière moi en train de me caresser les fesses, son sexe faisait pression sur mon anus et entrais lentement en moi, j’avais l’impression d’être déchirer en 2 a chaque avancé de son sexe en moi, mes crie était devenu un mélange de cris de douleur et de plaisir, Marie avait pris la place de mon frère sur le fauteuil et se caressait en regardant son amant m’enculer. Une fois son sexe bien entré en moi il resta un moment sans bouger, je sentais mon cul se refermer sur son sexe puis il se retira, il faisait de très lent vas et vient qu’il accélérait au fur et à mesure, je gémissait de plus en plus fort, il me pris bien par les hanches et ses vas et vient devinrent rapide et violent dans mon cul, mes jambes tremblaient j’avais du mal à rester à genoux mais il me tenais bien, j’étais a lui et il ne comptait pas me laisser partir, ma maîtresse, quant à elle, se masturbais la chatte avec un sextoy et ses gémissement se mélangé aux miens pour ne devenir plus qu’un, c’était un moment magique, la sodomie fut une grande découverte pour moi, je prenais un pieds d’enfer, je ne voulais plus qu’il s’arrête, j’avais mal au cul mais c’était trop bon, quand soudain mon frère s’enfonça bien en moi pour se vider dans mon cul et me lâcha les hanches, je m’écroulais de fatigue sur mon lit, je sentais le foutre dégouliner de mon cul, je ne pouvais plus bouger j’étais fatigué, je voyais Marie prendre le sexe de mon frère en bouche pour bien le nettoyer, je voulais les rejoindre mais je manquais de force, je ne pouvais presque plus bouger, quand mon maître fut bien nettoyé il me détacha et me débâillonna et me caressa.
– Alors Sophie ça vas ? tu as aimé ?
– Oui beaucoup Maître
– Très bien, mais surtout tu dois le dire a personne c’est bien compris ?
– Oui
– Tu sais je suis très fier de toi, tu as était une vraie salope comme on les aime, et si tu es sage on le refera.
– C’est vrai ?
– Oui, mais maintenant il se fait tard, il faut ranger un peu ce bordel, nous laver et te remettre au lit n’oublie pas que tu es sensé être malade.
C’est vrai qu’il était déjà tard, nous avions fait l’amour toute la journée et je ne m’en étais pas rendu compte, nous avions raté le dîner mais je n’avais jamais eu faim, comme si le sexe m’avais servi de nourriture. Nous avons donc tout rangé, j’étais un peu déçu car j’aurais aimé que cela dure encore, mais je savais que j’allais avoir beaucoup d’autres séances.
Et c’est vraie qu’il y eu plein de séance, mais malheureusement pour moi mon frère et Marie ont pris un appartement quelques mois plus tard, nos séances se sont espacés, puis j’ai grandi et je suis allé souvent leur rendre visite pour mes séances et le nombre d’esclaves a grandi aussi (toutes des femmes).

J’espère que mon histoire vous a plu.

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